vendredi 29 août 2014

La semaine pâle




   Pas très connu, le Benjamin, c'est ça de vouloir gloser sur le déshonneur des copains pas plus poètes que pas poètes. Ou c'est pas ça. Comme il vous plaira, drôles et drôlesses qui me péribloguez. Me voici donc le messager d'un poème plus léger que de coutume, plus souriant aussi peut-être, plus à côté du Dos, et plus mineur du Sol, et plus ou moins que tout compte Fa. Alors ? Finalement ? A quoi bon surréaliser ?






   Sa trajectoire fut pour toujours fidèle à ce vilain pas drôle de Breton, coincée entre 1900 et 1960 pour un instant furtif et sans cheveux. Il s'était libéré en jouant les automates de l'écriture, tordant les bras de la beauté pour en faire des queues de comète autour de son bagou. Et me voici disant La Semaine Pâle dans l'Aquarium de Camille Saint-Saens. N'est-ce pas saint-sensé ?























1 commentaire:

  1. Tant de jeux de mots fientent bon l'esprit perverti. N'est pas personne qui veut !

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Qu'enfin quelqu'un me quelque parte :